Ligue des Communes de France pour la langue française

Avenir de la langue française et ses 40 partenaires vous appellent à participer à la création de la Ligue des Communes de France pour la langue française !

langue française politique communes

Vous avez les raisons et les modalités de cette création dans la lettre aux élus ci-dessous et dans les documents indispensables qui la suivent.

Il vous suffit de les adresser par courriel, ou par lettre - ou mieux : par démarches de vive voix - aux maires et conseillers municipaux que vous connaissez, pour obtenir de leurs conseils municipaux des délibérations portant adoption officielle de l'un des manifestes (trois sont joints, dont deux en lien bleu sur lequel il faut cliquer ; un d'entre eux à choisir selon les orientations politiques et les préférences de chaque Conseil).

Vous pouvez adapter cette lettre passe-partout au cas de chacune de vos communes en :

- rédigeant autrement la "version Grigny" (cliquer sur le lien bleu "comité Valmy") pour en faire un projet de délibération plus proche des réalités du terrain, sans pour autant perdre de vue la dimension nationale de la démarche ;

- choisissant celui des trois manifestes (appelés aussi "pétitions-appels") qui, selon vous, correspond le mieux aux orientations politiques de l'actuelle majorité locale censée l'adopter ;

- mettant clairement en valeur le fait qu'être parmi les premières municipalités à entrer dans la Ligue des communes de France pour la langue française : ne manquera pas de frapper les esprits et d'être médiatisé, non seulement dans la presse régionale, mais encore, avec notre aide, dans les médias nationaux.

Les Manifestes (ou Pétitions-appels) diffèrent sensiblement dans leurs inspirations idéologiques, mais sont bien convergents sur le fond, ce qui s'explique par le fait que nos associations travaillent ensemble depuis des années et ont élaboré des analyses et un corpus solide de propositions et stratégies communes :

- a) le manifeste qui a servi de base à la délibération du Conseil à majorité "progressiste" de Grigny : cliquer sur ce lien pour le lire : www.comite-valmy.org/spip.php?article2623 ;

- b) la pétition-appel -  sous le titre :"pétition 2012" - plus neutre idéologiquement avec l'accent plus sur "France" que sur "République", que nous avons déjà diffusée sur nos sites et dans quelques médias écrits et radios à notre portée ; elle est accompagnée de la liste des 40 associations* qui l'ont portée, et de la liste de sa cinquantaine de hautes personnalités françaises et étrangères signataires, ces deux listes lui donnant un poids non négligeable ;

- c) l’appel - www.marianne2.fr/Langue-francaise-et-monde-multipolaire-l-urgence-d-une-strategie_a220174.html - que Dominique Gallet, l'ASSELAF et l'éminent Québécois Jean-Louis Roy ont porté et font circuler actuellement (Avenir de la langue française l'a signé comme les deux autres). ; Il a l'avantage de contenir des propositions concrètes tout comme le manifeste Valmy-COURRIEL.

*Songez-y : ce n'est pas rien ! La liste de ces 40 associations, françaises en grande majorité, mais aussi québécoises et autres, figure dans la dernière pièce jointe. Nos associations, mises depuis plusieurs années en synergie, ont accompli et accomplissent un travail énorme pour tenter d'arrêter le rouleau compresseur : aidez-les !

Bien cordialement.

Albert Salon, docteur d'État ès lettres, ancien Ambassadeur, président d’Avenir de la langue française, vice-président ou administrateur d'autres associations nationales, membre du Bureau du Forum pour la France, administrateur du Cercle Nation et République.


Campagne Communes pour le français Lettre aux Élus :

Monsieur (Madame) le Maire (ou : M……., Conseiller municipal)

Pour la défense et la promotion de la langue française et de la Francophonie, les associations C.O.U.R.R.I.E.L et Comité Valmy, Avenir de la langue française, Forum francophone international-France, Forum pour la France, Francophonie-Avenir, parmi 40 associations de raisons sociales voisines dont la liste vous est accessible en PJ, tentent depuis des années d’amener les dirigeants du pays à cesser de céder ou de consentir – voire de contribuer – à son anglo-américanisation voulue par des forces internationales très puissantes.

Nos 40 associations* constatent la vanité de leurs efforts pour franchir le barrage de médias acquis pour la plupart à l’idéologie dominante, et pour exprimer, faire entendre et faire respecter la volonté populaire, nationale, attestée par toutes les enquêtes d’opinion, qui est de maintenir le rôle du français en France et dans le monde, et de promouvoir la Francophonie.

Dans l’impossibilité d’obtenir de nos dirigeants l’organisation d’un referendum sur cette question vitale pour la France comme pour toutes les communautés francophones dans le monde, nos associations ont décidé de lancer une campagne de mobilisation des collectivités publiques de base en France et ailleurs.

Elles veulent obtenir que des conseils municipaux nombreux décident d’adopter l’un des manifestes joints, et d’adhérer à une Ligue des Communes de France pour la langue française, pouvant s'étendre à d'autres pays francophones et autres en une sorte de Ligue mondiale Contre la pensée unique (Claude Hagège), contre la politique de la langue unique qui la porte, et pour l’affirmation partout de la diversité linguistique et de la place légitime du français .

A l’appel de l’association COURRIEL, une première commune, celle de Grigny (Rhône, 10.000 habitants) a pris le 3 juillet une délibération forte en ce sens (cliquer pour la lire sur le premier lien ci-dessous en bleu : Comité Valmy), en adoptant un manifeste "progressiste" conçu et signé par COURRIEL.
La réussite de cette première expérience peut s’étendre à toute la France et au-delà. Une sorte d’embrasement à susciter de toutes nos énergies… Le peuple se lèverait dans ses institutions les plus proches de lui pour enfin s'exprimer et se faire entendre partout !

La formulation "progressiste" du manifeste - comme de la délibération fondée sur lui - peut être reprise par tous les conseils municipaux à majorité « progressiste ».

Les municipalités qui éprouveraient des difficultés d’ordre politique à adopter le manifeste progressiste peuvent choisir d’adopter l’un de nos deux autres manifestes joints qui contiennent, pour l’essentiel, les mêmes analyses et les mêmes orientations principales que le premier. Cet accord sur le fond reflète la longue pratique de travail en commun de nos diverses associations, entre 12 et 32 engagées selon les actions conjointes menées.

- Le deuxième manifeste – en PJ avec ses annexes - n'est autre que la pétition-appel portée en 2012, à l’occasion des grandes élections nationales, par 40 associations, proposée seulement à de hautes personnalités françaises et étrangères non politiques, et signée par 50 d’entre elles.

- Le troisième (à lire en cliquant sur le deuxième lien en bleu : Marianne2) émane de plusieurs de nos associations non progressistes, mais non moins militantes pour cette même cause.

A vous de décider du ou des manifestes (ou "Appels-pétitions") à offrir au choix et à l’adoption du Conseil,
et d’adapter le projet de la délibération elle-même qu'ils seront appelés à voter.

Lorsque vous aurez obtenu le vote favorable du Conseil de votre Commune, et peut-être de deux ou trois autres communes, nos associations vous seront reconnaissantes de bien vouloir faire parvenir le texte de chaque délibération pertinente au siège d’Avenir de la langue française, 34 bis rue de Picpus, 75012, Paris, avenirlf@laposte.net, après en avoir saisi tant la préfecture que la presse locale.

Les associations de promotion du français, à l'origine de cette campagne, feront le reste - notamment pour la médiatisation - à l’échelle nationale.

Les associations attendent votre réponse avec l'intérêt que vous devinez.

Veuillez, Monsieur (ou Madame) l……………….., croire à (ou recevoir l….)…… gratitude ……sentiments les meilleurs……

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