Liens : travail, universités, instituts
Monde du travail
travail universités langue française liens
Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ)
La FTQ est la plus grande centrale québécoise qui compte aujourd'hui plus d'un demi-million de membres, présents dans tout le Québec.
Son site est intéressant notamment pour tout ce qui concerne la "francisation" des entreprises au Québec et donne des repères historiques concernant la charte de la langue française.
Langue du travail (portail FTQ-CGT) Langue du travail est un portail est né à l’initiative de la Fédération des travailleurs du Québec (FTQ) et de la Confédération générale du travail de France (CGT) avec le soutien financier de l’Office québécois de la
langue française (OQLF).
Il s’adresse à toutes les personnes soucieuses de l’avenir du français dans les milieux de travail. Il est conçu pour diffuser de l’information et pour faire la promotion des outils de travail susceptibles de les aider à travailler dans la langue commune du milieu de travail.
Le portail a aussi comme objectif de contribuer à établir de nouvelles solidarités entre travailleurs et travailleuses de la francophonie afin d’assurer que le français prenne la place qui lui revient.
Universités, Instituts
Université Senghor à Alexandrie Créée en 1989 par le Sommet des chefs d’État et de Gouvernement ayant le Français en partage, l’Université Senghor est une institution de 3e cycle dont la vocation est de former et de perfectionner des cadres africains et des formateurs de haut niveau et d’orienter leurs aptitudes vers l’action et l’exercice des responsabilités dans certains domaines prioritaires pour le développement.
Elle est un pôle d’échanges et de rencontres dans l’espace francophone en organisant des colloques, séminaires et conférences, et en collaborant notamment avec les autres opérateurs et institutions de la Francophonie.
Institut Culture Économie Géopolitique (ICEG) présidé par Yves
Montenay (membre d'ALF), l'ICEG a démarré il y a une vingtaine d’années en lançant des formations en gestion, géoéconomie et géopolitique, il a pour vocation d'expliquer le Sud au Nord et le Nord au Sud et traite également de la Francophonie.
Associations professionnelles francophones
Union de la presse francophone (UPF) C'est la plus ancienne association francophone (Limoges, 1950) à l'initiative du journaliste canadien Dostaler O'Leary. D'amicale et de structure de rencontre de journalistes de langue française à travers le monde, au début de son existence, elle s'est peu à peu transformée en une union professionnelle active, reconnue comme organisation internationale non-gouvernementale (OING) par les plus grandes organisations internationales comme l'ONU, l'UNESCO, le Parlement de Strasbourg ou l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF).
L'UPF regroupe 3 000 journalistes, responsables et éditeurs de la presse écrite et audiovisuelle, répartis dans 110 pays ou régions du monde, qui adhèrent, soit par l’intermédiaire d'une section nationale, soit individuellement, constituant ainsi un réseau unique au monde. Dans un certain nombre d'États, la section nationale de l'UPF est la seule union professionnelle à rassembler les journalistes, qu'ils travaillent dans des médias de service public ou dans le secteur privé. Cela fait de l'UPF l'une des organisations les plus représentatives de la profession dans le monde.
Réseau Francophone International pour la Promotion de la Santé (RÉFIPS) Le RÉFIPS se veut un lieu d'échanges et d'entraide pour les professionnels de la santé intéressés par la promotion de la santé de leurs communautés respectives. Il regroupe environ 500 membres répartis dans une trentaine de pays de la Francophonie qui partagent un intérêt pour l'émergence de conditions favorables à la santé de leurs populations, la création de milieux favorables, le renforcement de l'action communautaire, l'acquisition de meilleures aptitudes individuelles et la réorientation des services de santé.
La promotion de la santé, les pratiques et les acteurs de terrain, la langue et la culture francophone sont les grandes lignes de force du RÉFIPS.
Le RÉFIPS privilégie la communication de l’expertise, le va-et-vient entre les pratiques, les savoirs et les spécificités ainsi que la promotion d’actions et le partenariat.